Alfonso Mejia

Acteur

Alfonso Mejia

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10 micro-critiques

Né à Mexico City - Mexico le 16 novembre 1934

Connu pour...

Los olvidados de L. Buñuel

Rubí de C. Enrique Taboada

Toujours plus loin

Toujours plus loin de L. Alcoriza

El hombre de la ametralladora

El hombre de la ametralladora de C. Urueta

El boxeador de G. Gazcón

Por mis pistolas

Por mis pistolas de M. M. Delgado

Rio Hondo de R. A. González

El túnel 6 de C. Urueta

Filmographie de Alfonso Mejia

1

Rubí (1970)

un film de Carlos Enrique Taboada

1h50

Ma note :
2

Por mis pistolas (1968)

un film de Miguel M. Delgado

2h03

Ma note :
3

Rio Hondo (1965)

un film de Rogelio A. González

Ma note :
4

Toujours plus loin (1965)

un film de Luis Alcoriza

1h45

Ma note :
5

El hombre de la ametralladora (1961)

un film de Chano Urueta

1h25

Ma note :
6

El boxeador (1958)

un film de Gilberto Gazcón

1h30

Ma note :

7

El túnel 6 (1955)

un film de Chano Urueta

1h56

Ma note :
8

Taux de satisfaction de la communauté

86%
Los olvidados (1950)

un film de Luis Buñuel

Evadé d'un centre de redressement, El Jaibo, jeune Mexicain laissé à lui-même, prend la tete d'une bande de jeunes délinquants de Mexico. Le vieux mendiant aveugle Don Carmelo, sur...

1h20

Ma note :

Avis sur les films de Alfonso Mejia

jenanaipa
(à propos de Los olvidados)

Sa note :

“ Grand film désarmant, dont le sombre désespoir engourdit l'âme. ” — jenanaipa 5 juin 2014
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Altoy
(à propos de Los olvidados)

Sa note :

“ Grand film qui peint l'impossible affranchissement de la jeunesse de sa misère: la viande sera toujours crûe pour les laissés-pour-compte. ” — Altoy 3 juin 2013
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georges.b1
(à propos de Los olvidados)

Sa note :

“ Loin du néoréalisme ce film social agresse volontairement par sa causticité et sa distance mais n'en est pas moins douloureusement efficace! ” — georges.b1 15 novembre 2013
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themroc
(à propos de Los olvidados)

Sa note :

“ Quand néo-réalisme et surréalisme rejouent le Kid. ” — themroc 7 août 2011
2 commentaires
Kashflow
(à propos de Los olvidados)

Sa note :

“ Résolument moderne, Bunuel filme un ballet céleste de misère et de désespoir, avec de jeunes acteurs rayonnant de justesse et de grâce. ” — Kashflow 19 août 2013
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