Portrait d'un assassin

(1949)

un film de Bernard-Roland et Henri Decoin

Ce qu'en pense la communauté

19%
8 notes
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Micro-critique star (Calino92) :

(à propos de Portrait d'un assassin)

Sa note :

“ Et dire que Welles devait réaliser le film... Reste une brillante distribution, au service d'un drame plutôt palot. ” — Calino92 16 octobre 2018

5 commentaires

Calino92
(à propos de Portrait d'un assassin)

Sa note :

“ Et dire que Welles devait réaliser le film... Reste une brillante distribution, au service d'un drame plutôt palot. ” — Calino92 16 octobre 2018
5 commentaires
- Calino92
  
  commentaire modéré D'autant que Welles devait également jouer dedans. Seulement voilà, il se serait volatilisé après avoir été payé par le producteur, qui lui intenta un procès pour non exécution de son contrat.
  17 octobre 2018 Voir la discussion...
- tylerd1477
  
  commentaire modéré @Calino92 Oui mais c'est un artiste, il a le droit
  17 octobre 2018 Voir la discussion...
- Calino92
  
  commentaire modéré Le droit je ne sais pas mais la liberté, ça ne fait pas de doute
  17 octobre 2018 Voir la discussion...
commentaire modéré
à l'instant Voir la discussion...
Lemmy
(à propos de Portrait d'un assassin)

Sa note :

“ Drame assez classique, nous retiendrons la mise en scène inspirée et un casting de haute volée (plus deux loopings) ” — Lemmy 24 février 2022
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piver
(à propos de Portrait d'un assassin)

Sa note :

“ Il y a des miracles au cirque, mais ici une machine infernale l'entretient, nourrie de désir insatisfait et de petites fiertés désespérées. ” — piver 4 novembre 2015
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Casting de Portrait d'un assassin

Maria Montez

Arletty

Jules Berry

Marc Natol

Eddy Debray

Infos sur Portrait d'un assassin

Réalisé par Bernard-Roland et Henri Decoin

France - 1h40
Sortie le 25 novembre 1949

Synopsis

La très belle et très riche Christina est impresario de cirque. Femme fatale excitée par la mort, elle pousse les acrobates à exécuter des numéros de plus en plus périlleux. Elle est suivie par son âme damnée, Eric, ancien trapéziste, estropié à vie qui lui voue un amour-haine tenace. Christina fait la rencontre d'un motocycliste de foire, Fabius qu'elle arrache à sa femme, Martha, et pousse a exécuter un tour automobile particulièrement dangereux. Ce flamboyant mélo devait, a l'origine, être dirigé par Orson Welles.